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22 avril 2014

José NOCE

José Noce 2

Aîné de 7 bambini, je suis né le 13 juillet 1950 à Denain (ville de Cafougnette : Jules Mousseron, mineur poète et pas poète mineur), ma mère qui venait de Sardaigne a même cru qu’on faisait un feu d’artifice exprès pour moi le lendemain…

Je viens d’une famille d’émigrés italiens (de Sassari tous les deux) socialement faible, mais affectivement balaise.

Mon père était maçon fumiste à Usinor, la mamma cuisinière pour 8 personnes dans notre casa du coron.

Enfance partagée entre le terril Renard (ma mélancolline) comme biloute, et la Sardaigne comme nostalgique en vacances… Le français est ma quatrième langue, après le sarde, l’italien, et le chti.

Fac de lettres modernes à Lille 3, licence et maîtrise.

Marié à une jolie prof d’anglais. Père de deux grands dadais de 32 ans (Antonin) et (Ugo) 28 ans.
Grand-père d’un adorable petit sumo: Attilio 9 mois.

J’ai parlé le français national en 4ème position.D’abord le sarde, plus précisément le sassarezu, la langue du nord de la  Sardaigne, à table avec mes parents.Puis l’italien, en visite chez les amis. Puis le chti de la région  valenciennoise, partout autour de chez moi,  avec les potes des corons,  même à la grande école. Et enfin le français de Molière ….

Je suis tombé amoureux de cette langue, et ai  eu la chance de croiser sur ma route des instituteurs, trices,  professeurs, qui m’ont aidé à l’aimer encore davantage!

J’ai dévoré tous ces auteurs qu’on appelle classiques : Flaubert, Balzac, Zola, Maupassant, Stendhal, Proust, Hugo, Verne… et les poètes jusqu’à  l’épuisement des couvertures…

Ils sont tous mes pères spirituels, parmi lesquels je sors de temps en temps quelques favoris: Gary, Céline, Giono,  Albert Camus, Barrico…

J’espère sincèrement avoir essayé de rendre hommage à la complexité et à la subtilité de la langue française dans mes livres :

« Au petit bonheur », « Contes sur  nous », « La vie est beautyfolle », et  « ‘Aphorisiaques »: (« Le prince charmant comme il
respire »).

J’y ai joué avec les connotations, les sons, les dessins, les allusions, pour  transformer chaque mot en ses possibles, et lui donner ainsi plus de respirations…

Quant à mes quatre polars : « Villa confusione »,  « Le monde est un bousillage », « L’archange  est nu », (suite de : »le monde est un bousillage »), et « Sniper  bleu » ‘petite nouvelle noire) édités chez Krakoen, j’ai tenté d’y  faire voyager le lecteur dans mes espaces intimes, en lui léguant une partie des frissons que j’ai attrapés au cours de mes lectures policières  internationales…

En y glissant du sourire, de la sensualité, et une structure narrative sortie  un peu des sentiers trop piétinés .

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