Pieter PAESSENS
Pieter PAESSENS nous exposera ses travaux en 6 langues.
D'origine belge, il habite Téteghem depuis 8 ans ( après plus de 30 ans à Dunkerque)et y travaille sur de petits dictionnaires de type niche:
Paroles administratives, Paroles d'enfants, Paroles de police et ''Horecat'' pour le secteur des hôtels,restaurants,cafés et tourisme.
La sélection des mots est basée sur les racines consonantes latines et/ou germaniques.
Le dernier livret est plus ludique, il présente 44 mots croisés en 2, 4 et 6 langues.
Il a participé au dernier ''Salon des langues'' de Dunkerque.
Daniel BOURDON
Après Brigitte, acte II, en fidèle de Théodolivres, Daniel BOURDON nous revient avec une nouveauté: Un braqueur en garde à vue!
Natif de Bruay-en-Artois, Daniel BOURDON est un enfant des corons. Malgré son emménagement sur la Côte d’Opale, il nourrit un profond attachement à sa région. Après avoir fait carrière dans la brigade anti-criminalité à Paris, il se consacre à l’écriture. Marqué par le destin de Brigitte Dewèvre, il a choisi de refaire l’enquête et de redonner sa place à la grande oubliée de cette affaire : la victime. Brigitte, acte III est en cours d'écriture...
Il nous présentera donc cette année Un braqueur en garde à vue, coécrit avec Michel Benmerzoug, qui devait l'accompagner mais brutalement décédé fin août.
Jean-Marc DEMETZ
(PRÉSENT EN 2015 )
À 50 ans, Jean-Marc Demetz s'est jeté dans l’écriture de romans noirs et de nouvelles.
Il s’est lancé dans le roman policier qui se situe dans une réalité sociale précise et porteur d'un discours critique. Il s’inscrit également dans une vision noire du monde qui est, pour lui, toujours nimbée d’une lueur d’espoir.
S’inspirant de ses passions, voyages et rencontres pour créer les personnages et les décors de ses romans, il rend compte de la réalité sociétale : crime organisé et terreau mafieux, société clanique, anomie sociale, corruption politique et policière. Pour chacun des thèmes abordés, il mène une enquête fouillée pour en retranscrire les détails qui jetteront le lecteur dans l’intrigue avec le plus grand réalisme.
En 2013, il a sorti deux romans « les œufs de Lewarde » et « le doigt du sang », un feuilleton radiophonique « Signé Radarax » et, pour son plaisir de papy, un livre jeunesse dont les héros sont ses trois petits-enfants. En 2014, il sort une nouvelle « la savate à Marceau ».
Romans
- Le doigt du sang (Krakoen - 2013)
- Les œufs de Lewarde (Engelaere Éditions - 2013)
- Les 7 prières de Lille (Ravet-Anceau - 2008)
- Wagadou (Krakoen - 2006)
Nouvelles
- La savate à Marceau (sKa-Éditeur numérique)
- Boarding (Krakoen)
- Le Mystère Krakoen (collectif - Krakoen)
- Onze balles perdues (collectif - Krakoen/Caramba ! Publishing)
- Sainte Valentine (collectif - sKa-Éditeur numérique)
Feuilleton radiophonique
- Signé Radarax (sKa-Éditeur numérique)
Jeunesse
- Les contes de Papy Jimmy (Horsain Editions - 2013)
Dernier roman ( thriller)
Salon du livre "Théodolivres": Impressions 2014
Ludovic Bertin, par mail
Merci à vous pour ce salon très sympathique qui ne demande qu'à perdurer et se développer.
Ludo
Maryse Cherruel, par mail
Lucie Capucin, par mail
En tant qu'auteur, c'est moi qui vous remercie de tout coeur pour ce premier salon, qui était très réussi, animé et sympathique. Je n'ai jamais vendu autant de livres dans un salon ! J'étais également étonnée du grand intérêt manifesté par le public, très amateur de littérature en tous genres.
Ce sera avec un très grand plaisir que je souhaite revenir l'année prochaine!
Très cordialement,
Lucie Capucin
membre de l'ADAN ( Association Des Auteurs du Nord)
Estelle ( et Richard) Brichet, par mail
Ce fut un plaisir pour nous aussi, très bonne ambiance et organisation sans faille.
Amicalement.
Elisa Dalmasso par mail
Merci surtout à vous deux pour l'énorme travail que vous avez fourni et le climat convivial que vous avez su instaurer.
Bonne soirée
Jess Kaan
Des organisateurs aux petits soins, des visiteurs intéressés.
Pour une première édition, c’était une évidente réussite
Josette Wouters par mail:
Bonjour Anny et Jean-Pierre
Justine Jotham Quelle belle initiative! Bravo à tous les organisateurs. Cette première édition était très réussie. Merci pour votre accueil.
Yvon Le Roy Merci Jean-Pierre ! Cette première édition fut un coup de maître ! On y a reconnu ton sens du contact et de l'organisation. Bravo à toi, à Anny toujours sur la brèche, à toute l'équipe. Je ne doute pas que la prochaine édition attirera encore plus d'auteurs et de public.
Michel Bouvier, par mail: Merci à Anny et à toi pour tout le travail fourni! Ce fut un beau salon, l'occasion d'agréables rencontres dans une ambiance chaleureuse. Et pour une première fois, une belle réussite!Au plaisir d'une prochaine rencontre. Ma femme se joint à moi pour vous remercier. Amicalement,
Michel
Patrice Dauthie Un grand merci pour ce beau dimanche. Quel plaisir de côtoyer de fins lettrés et des visiteurs sympathiques ! Bises à Anny et à très bientôt. PS : Maryse se joint à moi dans ce petit témoignage (j'ignore si elle aura le temps de se manifester sur le réseau). Amitiés
Polars En Nord Belle ambiance dimanche 12 octobre au salon Théodolivres à Téteghem ! Les auteurs étaient venus en nombre pour dédicacer leurs Polars en nord et Polars En Nord Junior. Merci à Jean-Pierre et Anny Bocquet, à la Librairie Lamartine et à l'ensemble de l'organisation pour leur accueil chaleureux.
Téteghem : le polar et le livre jeunesse invités du premier salon littéraire de Téteghem Publié le 07/10/2014 La Voix du Nord
Louis Fernand OLBEC, père François BONDUELLE
Coudekerque-Branche : François Bonduelle, le curé prend la plume
Publié le 03/06/2016
François Bonduelle sort un recueil de nouvelles sous le nom de Louis Fernand Olbec qu’il dédicacera ce samedi après-midi à la Librairie, 33, rue Emmery, à Dunkerque.
Ici, la mer est au Nord. C’est le nom du cinquième ouvrage (un recueil de nouvelles disponible sur Amazon, 12 €) de Louis Fernand Olbec, 84 ans. À Coudekerque-Branche, l’auteur est plus connu sous son vrai nom, François Bonduelle. « Je ne voulais pas utiliser mon nom, je ne voulais pas être embêté. »
Il a œuvré pour l’église catholique. D’abord prêtre-ouvrier, il a notamment été chauffeur de bus. À sa retraite, il s’est investi pour l’église. Curé à Saint-Dizier et à Roubaix-Nord, il a aussi exercé à Gravelines, Bourbourg, Loon-Plage, Grande-Synthe. À 75 ans, il a pris sa retraite spirituelle. « Je me suis mis à écrire à 74 ans, pour m’amuser. »
Aujourd’hui, il décide de briser l’anonymat : « Au char à voile et au club d’échecs, un ou deux étaient au courant. Est-ce que je fais bien de sortir du bois ? »
- La rivière
- Nouvelles forestières
- Le tour du carré
- Ici, la mer est au Nord
« Le vent se lève, il faut tenter de vivre
L’air immense ouvre et referme mon livre »
Le Cimetière marin, Paul Valéry
Ici la mer est au nord, ailleurs elle est au levant ou au couchant, que ce soit aux Indes, en Afrique ou aux Amériques, l’anglaise et la latine.
La Côte d’Opale coiffe l’Hexagone. Comme une casquette boréale, qui s’accroche aux oyats de la dune et résiste aux vents de noroît. C’est sur ce littoral que Louis Fernand Olbec déroule pour vous ces histoires imprévisibles.
Bercé par le ressac, laissez-vous entraîner dans ces nouvelles tandis que se lève le vent qui gonfle les voiles et tournera vos pages jusqu’à la dernière.
Bernard LECONTE
Agrégé de lettres, Bernard Leconte, né en 1942, a toujours vécu dans le Nord. Il a enseigné les lettres à Lambersart.
Il a collaboré à de nombreux journaux et revues, dont la Nouvelle Revue de Paris, La Revue littéraire, Points et Contrepoints, ou encore Le Figaro. Il signe toujours dans les pages du Cerf-Volant, de Service littéraire, de Défense de la langue française, et de Chiendents et continue à collaborer à Livr’arbitres, Défense de la langue française, Service littéraire.
Il est également producteur et animateur de l'émission littéraire La baraque à livres sur RCF Radio TO aux côtés de Michel Bouvier.
Selon Isabelle Garnier, dans Madame Figaro, il "manifeste un goût marqué pour les sujets dérangeants et un plaisir quasi sportif à bousculer les idées reçues".
Jean-Max Méjean, dans Le Nouvel Observateur souligne le "style étincelant de quelqu'un qui aime la langue française".
Jean Dutourd, de l'Académie française, a relevé dans une préface : "Il a jeté un coup d'œil perçant sur le monde du XXe siècle finissant".
Grand admirateur de Proust, Giono, Bernanos, Montherlant, Aymé, Dutourd, ou encore Simenon, Bernard Leconte a reçu des prix prestigieux, dont celui du premier roman ou encore le prix Henry de Jouvenel de l'Académie française, les Lauriers de L’ASALA.
. Avec Un requin sous les arbres, son dixième livre, il signe son tout premier roman policier.
Florence, librairie Lamartine, Bergues
Florence sera présente à Théodolivres.
Après trente ans de conseils dans les librairies dunkerquoises, Florence Bertein a exaucé son rêve : être libraire. Voilà deux ans, l’ancienne responsable de librairie de Virgin Dunkerque a rejoint Bergues pour redonner vie à la librairie Lamartine et y organiser ses séances de dédicaces, le lundi, jour de marché.
José NOCE
Aîné de 7 bambini, je suis né le 13 juillet 1950 à Denain (ville de Cafougnette : Jules Mousseron, mineur poète et pas poète mineur), ma mère qui venait de Sardaigne a même cru qu’on faisait un feu d’artifice exprès pour moi le lendemain…
Je viens d’une famille d’émigrés italiens (de Sassari tous les deux) socialement faible, mais affectivement balaise.
Mon père était maçon fumiste à Usinor, la mamma cuisinière pour 8 personnes dans notre casa du coron.
Enfance partagée entre le terril Renard (ma mélancolline) comme biloute, et la Sardaigne comme nostalgique en vacances… Le français est ma quatrième langue, après le sarde, l’italien, et le chti.
Fac de lettres modernes à Lille 3, licence et maîtrise.
Marié à une jolie prof d’anglais. Père de deux grands dadais de 32 ans (Antonin) et (Ugo) 28 ans.
Grand-père d’un adorable petit sumo: Attilio 9 mois.
J’ai parlé le français national en 4ème position.D’abord le sarde, plus précisément le sassarezu, la langue du nord de la Sardaigne, à table avec mes parents.Puis l’italien, en visite chez les amis. Puis le chti de la région valenciennoise, partout autour de chez moi, avec les potes des corons, même à la grande école. Et enfin le français de Molière ….
Je suis tombé amoureux de cette langue, et ai eu la chance de croiser sur ma route des instituteurs, trices, professeurs, qui m’ont aidé à l’aimer encore davantage!
J’ai dévoré tous ces auteurs qu’on appelle classiques : Flaubert, Balzac, Zola, Maupassant, Stendhal, Proust, Hugo, Verne… et les poètes jusqu’à l’épuisement des couvertures…
Ils sont tous mes pères spirituels, parmi lesquels je sors de temps en temps quelques favoris: Gary, Céline, Giono, Albert Camus, Barrico…
J’espère sincèrement avoir essayé de rendre hommage à la complexité et à la subtilité de la langue française dans mes livres :
« Au petit bonheur », « Contes sur nous », « La vie est beautyfolle », et « ‘Aphorisiaques »: (« Le prince charmant comme il
respire »).
J’y ai joué avec les connotations, les sons, les dessins, les allusions, pour transformer chaque mot en ses possibles, et lui donner ainsi plus de respirations…
Quant à mes quatre polars : « Villa confusione », « Le monde est un bousillage », « L’archange est nu », (suite de : »le monde est un bousillage »), et « Sniper bleu » ‘petite nouvelle noire) édités chez Krakoen, j’ai tenté d’y faire voyager le lecteur dans mes espaces intimes, en lui léguant une partie des frissons que j’ai attrapés au cours de mes lectures policières internationales…
En y glissant du sourire, de la sensualité, et une structure narrative sortie un peu des sentiers trop piétinés .